Canon EOS 40D : L’arrivée d’un système antipoussiéreux sur un boîtier pro fait effectivement gagner du temps. Je m’en rends compte au niveau du post traitement, lorsque je traite un sujet réalisé avec mes deux boîtiers : l’EOS 40D qui en est équipé et l’EOS 5D qui en est dépourvu…
Nikon D300 : Il s’agit du tout premier Nikon équipé d’un système antipoussiéreux (il était temps). Il n’a pu être adapté au D3, peut-être en raison de la taille et de l’inertie de son capteur ou plus probablement à cause de délais développement et de test… Raison de plus selon moi d’opter pour le Nikon D300. Espérons que ce système se généralise aux successeurs des D40x et D80…
Avantage : A l’image de celui d’Olympus, ces deux dispositifs ont été spécifiquement développés pour luter contre le dépôt de poussière et ne sont pas le détournement opportuniste d’un système anti-vibration (certains reflex Sony et Pentax). Pas de note ici, car je manque encore de recule pour juger de l’efficacité respective des deux systèmes… D’autant que je n’ai jamais fait une maladie des poussières qui sont si faciles à enlever avec Lightroom ! Il m’arrive toutefois de les découvrir parfois trop tard, carrément sur le papier glacé d’une double page et de me dire, il faudrait tout de même que je nettoie ce capteur ! D’où l’intérêt de ces nouveaux systèmes automatiques auxquels il n’est plus nécessaire de penser… |
---|