Étant donné la légèreté et la compacité des trois boîtiers, il est parfaitement envisageable d’en porter deux simultanément. En l’occurrence, nous avons souvent utilisé le X100s en même temps que le X-E1, lorsque le 60 mm f/2,4 R Macro était à demeure : ce 90 mm (éq. 24 x 36) et le 35 mm (éq. 24 x 36) du compact expert de Fujifilm sont très complémentaires. Ce téléobjectif macro était la plus longue focale à notre disposition lors de ce voyage, car le 55-200 mm n’était pas disponible avant notre départ (ni le X-M1, en test dans le numéro 59). La distance minimale de mise au point à 27 cm permet de réaliser des cadrages très serrés, aussi bien sur des éléments de décors que sur des visages, ce qui en fait une optique précieuse pour varier les points de vue.
Photo : Benjamin Favier
Fujifilm X-E1 avec 60 mm f/2,4 - 1/1250s - f/2,8 - 3200 Iso
Photo : Benjamin Favier
Fujifilm X100s - 1/90s - f/2,8 - 2500 Iso
Photo : Benjamin Favier
Fujifilm X100s - 1/90s - f/2 - 400 Iso
Quant au 35 mm fixe du X100s, il se révèle très polyvalent : le fait de pouvoir effectuer la mise au point à une distance de 50 cm constitue un avantage non négligeable par rapport au X100 (80 cm). Le mode Macro (10 cm) est lui aussi séduisant. Il ne fonctionne qu’en LiveView ou via la visée électronique, comme sur le X100. Mais l’autofocus du X100s est bien plus réactif dans ces conditions, même si nous sommes parfois tentés par le mode MF (lire chapitre Mode MF & X100s).
Étant donné le prix de lancement du 23 mm f/1,4 R, les possesseurs de X-E1 ou du X-PRO1 peuvent se demander s’ils ne feraient pas mieux d’acquérir… un X100s, qui offre un 35 mm très compact et performant, bien que le piqué ne soit pas superlatif à pleine ouverture.
Un malheureux copier/coller fait que le texte consacré au 60 mm Macro n’est pas le bon dans le magazine (page 102). Le voici, avec toutes nos excuses pour ce désagrément :
« Équivalent à un 90 mm en 24 x 36, cet objectif Macro ouvre à f/2,4. Fujifilm aurait pu être un peu plus ambitieux (f/2 ?) à ce niveau, d’autant plus qu’il n’est pas stabilisé. Il faut bien pinailler un peu, car pour le reste, cette optique apporte pleine satisfaction. La construction est de haut niveau (bien qu’il n’y ait pas de joint d’étanchéité) et le pare-soleil en métal est suffisamment imposant pour à la fois protéger la lentille et empêcher l’intrusion de lumières parasites. Le piqué est excellent dès la pleine ouverture. La distance minimale de mise au point de 26 cm en fait une superbe optique à portraits. Elle a ainsi été souvent mise à contribution… »
MDLP N°59, Octobre 2013 Retrouvez l’intégralité de notre reportage test en Indes sur le Fujifilm FinePix X-E1, X20 et X100s dans notre numéro cinquante-neuf du MondedelaPHOTO.com, actuellement en kiosque. Lire le sommaire du N° 59 de MDLP |
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