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MDLP #86 - Papier

par Vanessa Vigier - 

MDLP - 

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■ Actus ■ Profil : Stéphane Barthe ■ DOSSIER SPÉCIAL TOUT SAVOIR SUR LE FORMAT 24X36 [60 PAGES] ■ La technique de la photographie au boudoir ■ Maîtriser le mode stroboscopique ■ Retouche Photo : DxO Optics Pro [1 tutoriel] ■ LIGHTROOM CC/6 [2 tutoriels] ■ PHOTOSHOP CC [1 tutoriel] ■ Tests / Liste des tests : Nikon D5 ■ Ricoh Pentax K-1 ■ Canon Selphy CP1200 ■ Panasonic Lumix TZ-80 ■ Moment Lens ■ ChargeTech ThinCharge ■ Sigma 20 mm f/1,4 DG HSM Art ■ Tamron SP 85 mm f/1,8 Di VC USD ■ Olympus M.Zuiko Digital ED 300 mm f/4 Pro IS ■

À l’origine, ce dossier devait sortir à l’automne dernier. Nous souhaitions faire coïncider la parution avec la sortie du K-1, un temps prévue à cette période, avant d’être repoussée au printemps 2016. Un événement, puisqu’il s’agit du premier reflex 24 x 36 numérique Pentax – filiale de Ricoh Imaging depuis 2011 – acteur historique aussi incontournable que Canon et Nikon. Désormais, les trois concepteurs de boîtiers à miroirs proposent des modèles numériques adoptant le format cher à Oskar Barnack. Tandis qu’en parallèle, les Sony A7 poursuivent leur irrésistible percée, sans oublier Leica, qui occupe une place à part avec ses M télémétriques, son hybride SL et son compact Q, il nous a semblé pertinent de faire un point sur le marché du plein format numérique.
S’il constitue la voie royale pour une majorité de photographes, force est de constater que le full frame n’a pas enterré l’APS-C, contrairement aux prédictions de quelques Cassandre lors de l’édition 2012 de la Photokina : l’avènement des EOS 6D et D600, reflex 24 x 36 démocratiques, les rendaient sûrs de leur fait. Quatre ans plus tard, l’APS-C se porte très bien, le Fujifilm X-Pro2 et – très vraisemblablement – le Nikon D500 le prouvent. Le plein format demeure toutefois la référence. Ne serait-ce que pour évoquer la focale utilisée avec un appareil pourvu d’un capteur de taille
inférieure ou supérieure, et de par la qualité d’image délivrée. Le passage au plein format s’accompagne néanmoins de contraintes, rendues plus évidentes depuis l’apparition des hybrides.
Poids, encombrement, prix : c’est bien simple, tout augmente. Et au fur et à mesure que la définition s’élève, le moindre faux pas lors de la mise au point se traduit par un flou fatal, lorsqu’on succombe aux sirènes des faibles profondeurs de champ, si prisées, si caractéristiques du plein format. De tout cela, il faut être conscient, tout comme des limitations dans certains domaines comme le sport ou l’animalier, chasses gardées de l’APS-C. Reste qu’une fois que l’on a emprunté la voie du 24 x 36, il est difficile de faire marche arrière…

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