GUIDE No 1 : DÉVELOPPER DES FICHIERS RAW
DOSSIER EXCLUSIF : LE FORMAT RAW
Nous avons voulu vous offrir un dossier exhaustif sur le format de plus en plus considéré comme un véritable "négatif" numérique. À travers une introduction didactique et documentée, nous vous proposons toute une série d’articles pour vous familiariser avec le Raw, ce format d’enregistrement brut qui permet indéniablement de tirer le meilleur parti de son APN. Quand ce dernier le propose, ce qui est de plus en plus fréquent… 1ÈRE PARTIE : ■ Glossaire : les définitions essentielles ■ Les origines du bruit ■ La couleur du bruit ■ Photographier en Noir & Blanc ■ Les appareils numériques sont-ils égaux face au bruit ■ Appareils APS-C & Plein format ■ Zéro bruit : fantasme des photographes ■ Sens et non sens d’une sensibilité record ■ Raw, Jpeg et bruit électronique ■ Réduire le bruit à la prise de vue ■ S’équiper pour éviter le bruit ■ Accentuation & réduction : jusqu’où ? ■ Quand faut-il traiter le bruit ? ■ Les outils spécialisés ■ Les logiciels propriétaires ■ Les Logiciels alternatifs 2ÈME PARTIE LES TUTORIAUX : ■ Camera Raw : Réduire le bruit et accentuer la netteté ■ DxO Optics Pro : Affiner la réduction du bruit ■ Aperture : Utiliser Dfine 2 DxO Optics Pro ■ Bibble : La chasse au bruit avec Noise Ninja ■ Lightroom : Maquiller le bruit en grain ■ PhotoAcute & Photoshop : Utiliser le stacking pour éduire le bruit ■ Photoshop : Utiliser le filtre Réduction du bruit ■ Peut-on sauver une photo prise à 102 400 ISO |
Pourquoi photographier en RAW ?
■ S’il suscitait par le passé des discussions enflammées parmi les photographes, au point d’opposer fervents supporters et détracteurs, le Raw est aujourd’hui reconnu de facto comme étant le format suprême des photographes exigeants.
Quels logiciels choisir ?
■ Aperture, Lightroom, Capture NX, DxO, Capture One ou Camera Raw : quand il est question de développement de fichiers bruts, ce sont principalement ces noms qui reviennent. Mais il ne faut pas pour autant négliger les logiciels propriétaires et d’autres, alternatifs. MDLP vous propose un tour d’horizon des principales offres disponibles.
Le cahier retouche
Dans cette partie du dossier 100 % pratique, la rédaction vous propose une sélection de tutoriels essentiels autour des retouches fondamentales pour tirer le meilleur parti du Raw, tout en veillant à vous conseiller, parmi l’offre pléthorique de logiciels, sur les meilleures solutions pour :
■ Corriger la balance des blancs Corrigez des dominantes de couleur, tentez de restituer l’ambiance, telle qu’elle était au moment de la prise
de vue et affranchissez-vous des réglages automatiques.
■ Faire briller les couleurs Modifiez la teinte et la saturation des couleurs de vos photographies pour qu’elles correspondent au plus près à votre vision.
■ Faire un virage Noir & Blanc Passez vos images en noir et blanc, avec les outils du module Développement de Lightroom. Une solution séduisante, qui devrait vous convaincre de ne plus faire de clichés monochromes dès la prise de vue en Jpeg…
■ Accentuer ses photographies Camera Raw offre tous les outils
nécessaires pour accentuer la netteté sur ses images. Y compris de manière locale. Suivez toutes les étapes pour offrir une sortie réussie à vos clichés !
■ Calibrer son appareil photo Les profils génériques sont satisfaisants
pour 95 % de vos prises de vue. Mais comment faire pour obtenir des couleurs encore plus fidèles ? Éléments de réponse avec DxO Optics Pro.
■ Réaliser des corrections locales La technologie U-Point de Capture NX2 permet d’intervenir sur des sélections très précises de vos images. On peut, par exemple, déterminer une zone circulaire dans laquelle il sera possible d’appliquer un certain nombre d’ajustements.
■ Exécuter les corrections optiques DxO Optics Pro est sans aucun doute le logiciel le plus adapté pour venir à bout des défauts optiques les plus courants : aberrations chromatiques, vignetage, distorsion, etc.
■ Ajuster la tonalité de ces images Même après avoir scrupuleusement exposé ses images, il faut le plus souvent adapter la réponse sensitométrique du capteur au contraste de la scène photographiée. Exploitez au mieux les outils de Capture One.
GUIDE No 2 : LA CORRECTION DU BRUIT
Les Canon EOS 1D Mark IV et Nikon D3s, deux reflex professionnels, permettent de photographier à 102 400 Iso. Derrière cette valeur ahurissante, se cachent de nombreuses questions. Dont une, centrale : quel rapport entretiennent les photographes avec le bruit aujourd’hui ? Volker Gilbert a mené l’enquête… 1ÈRE PARTIE : ■ Glossaire : les définitions essentielles ■ Les origines du bruit ■ La couleur du bruit ■ Photographier en Noir & Blanc ■ Les appareils numériques sont-ils égaux face au bruit ■ Appareils APS-C & Plein format ■ Zéro bruit : fantasme des photographes ■ Sens et non sens d’une sensibilité record ■ Raw, Jpeg et bruit électronique ■ Réduire le bruit à la prise de vue ■ S’équiper pour éviter le bruit ■ Accentuation & réduction : jusqu’où ? ■ Quand faut-il traiter le bruit ? ■ Les outils spécialisés ■ Les logiciels propriétaires ■ Les Logiciels alternatifs 2ÈME PARTIE LES TUTORIAUX : ■ Camera Raw : Réduire le bruit et accentuer la netteté ■ DxO Optics Pro : Affiner la réduction du bruit ■ Aperture : Utiliser Dfine 2 ■ Aftershot Pro : La chasse au bruit avec Noise Ninja ■ Lightroom : Maquiller le bruit en grain ■ PhotoAcute & Photoshop : Utiliser le stacking pour réduire le bruit ■ Photoshop : Utiliser le filtre Réduction du bruit ■ Peut-on sauver une photo prise à 102 400 ISO |
LES ORIGINES DU BRUIT
■ Rares sont aujourd’hui les discussions entre photographes dans lesquelles ne surgit pas le terme « bruit ». Pourtant, contrairement à ce qu’un néophyte pourrait penser, il ne s’agit ni de considérations quant au bruit de déclenchement des différents appareils, ni d’un échange sur les différentes nuisances sonores liées à l’activité photographique…
Glossaire
La couleur du bruit
Photographier en Noir & Blanc
RÉDUIRE LE BRUIT À LA PRISE DE VUE
■ S’il n’est pas toujours possible d’éviter le recours aux sensibilités extrêmes, certains réglages vous éviteront de passer des heures à nettoyer vos images. Explications.
S’ÉQUIPER POUR ÉVITER LE BRUIT
■ En suivant le proverbe « mieux vaut prévenir que guérir » à la lettre, vous pouvez prendre certaines mesures pour ne pas avoir à utiliser des sensibilités susceptibles de compromettre la qualité de vos images.
ACCENTUATION & RÉDUCTION : JUSQU’OÙ ?
■ L’un ne va pas sans l’autre. La réussite de tout traitement dépend du subtile dosage entre accentuation et réduction du bruit.
QUAND FAUT-IL TRAITER LE BRUIT ?
■ Face à l’impressionnant arsenal logiciel pour réduire le bruit, on pourrait se demander quand et où le traiter. Voici quelques éléments de réponse.
LES OUTILS SPÉCIALISÉS ?
■ Il y a quelques années encore, le passage à un outil dédié au traitement du bruit était fortement conseillé pour affiner ou pour remplacer les réglages effectués dans l’appareil ou dans un logiciel de développement Raw.
LES LOGICIELS PROPRIÉTAIRES
■ Canon et Nikon, leaders du marché, proposent chacun des logiciels performants pour traiter le bruit. L’un gratuit (DPP), l’autre payant (Capture NX). Tour d’horizon de leurs possibilités.
LES LOGICIELS ALTERNATIFS
■ Ils ne sont pas vraiment spécialisés dans le traitement du bruit. Mais ces logiciels polyvalents offrent néanmoins des outils performants à cet effet.
#1 CAMERA RAW, RÉDUIRE LE BRUIT ET ACCENTUER LA NETTETÉ
■ Les outils de Lightroom 3 et Camera Raw 6 conviennent pour la plupart des images, même si celles prises aux sensibilités les plus élevées tirent parfois bénéfice d’un passage dans DxO.
#2 DXO OPTICS PRO : AFFINER LA RÉDUCTION DU BRUIT
■ La réduction du bruit telle qu’elle est appliquée au sein de DxO Optics Pro est diablement efficace. La preuve !
#3 APERTURE : UTILISER DFINE
■ Aperture 3 possède des algorithmes améliorés pour le traitement du bruit. Mais ils ne profitent pas à tous les appareils pris en charge. D’où l’intérêt des plug-ins.
#4 BIBBLE : LA CHASSE AU BRUIT AVEC NOISE NINJA
■ Depuis quelques années déjà, Bibble propose de supprimer le bruit à l’aide de la technologie Noise Ninja. Ce dernier possède des algorithmes parmi les plus puissants du marché.
#5 LIGHTROOM : MAQUILLER LE BRUIT EN GRAIN
■ Les nouvelles versions de Lightroom et Camera Raw sont d’une efficacité abracadabrante lorsqu’il s’agit de nettoyer le moutonnement coloré d’une image.
#6 PHOTOACUTE & PHOTOSHOP : UTILISER LE "STACKING"
■ En empilant plusieurs images en mode Médiane, on peut améliorer le rapport signal/bruit. Illustration avec PhotoAcute Studio…
#7 PHOTOSHOP : UTILISER LE FILTRE RÉDUCTION DU BRUIT
■ Le nouveau Filtre Réduction du bruit est l’un des atouts majeurs des nouvelles versions de Photoshop. Il permet un contrôle précis du bruit numérique de vos fichiers Tiff ou Jpeg, en 8 ou 16 bits par couche.
#8 CAS PRATIQUE : PEUT-ON SAUVER UNE PHOTO PRISE À 102 400 ISO
■ Cette sensibilité hallucinante, apparue en même temps chez Nikon (D3s) et Canon (1D Mark IV), serait-elle uniquement utile à des fins marketing ?
GUIDE No 3 : LE NOIR & BLANC EN NUMÉRIQUE
Un dossier complet de 50 pages :Réaliser des clichés monochromes n’a jamais été aussi simple. Les moyens disponibles, tant à la prise de vue qu’en postproduction, sont légion. Mais cette simplicité au niveau de la mise en oeuvre ne doit pas occulter l’essence même du noir et blanc. Un art qui occupe une place particulière dans le domaine de la photographie et dont il convient de bien connaître certaines règles pour en faire bon usage Sommaire du dossier : ■ Le N&B à l’ère numérique ■ Apprendre à voir en N&B ■ Maîtriser la lumière et le contraste ■ Gérer les couleurs en noir et blanc ■ Virages et bichromies ■ Procédés nostalgiques ■ Imprimer en noir et blanc ■ Préparer ses fichiers à la conversion ■ Quels logiciels choisir ? ■ Les plug-ins spécialisés ■ 10 Cas Pratiques |
1ère PARTIE : LES NOTIONS DE BASE
■ Le noir et blanc à l’ère numérique L’évolution technique des dernières années n’a nullement ébranlé notre fascination pour la photographie en noir et blanc. Bien au contraire, les facilités apportées par le numérique l’ont rendue accessible au plus grand nombre.
■ Vision monochrome À l’origine de la photographie, point de couleur, celle-ci ne fera son apparition qu’autour des années 1930. Les photographes ne pouvaient alors offrir qu’une vision monochrome du monde. Loin d’avoir disparu au profit de l’innovation technologique, le noir et blanc incarne encore aujourd’hui une forme d’art à part entière, régie par ses propres règles de composition, de jeu entre les contrastes.
■ Maîtriser la lumière et les contrastes Exposer pour les ombres et développer pour les hautes lumières, tel était le credo des maîtres de la photographie argentique. Un mode de pensée inadapté aux appareils photo numériques qui sont encore loin d’offrir la souplesse.
■ Gérer les couleurs en noir et blanc En noir et blanc, ne pourrait-on pas se passer de concepts aussi complexes que la gestion des couleurs, compte tenu de l’absence de couleur ? Hélas, la réponse est non, puisque la gestion des couleurs.
■ Virages et bichromies Il y a quelques années, l’emploi des virages dans la chambre noire signifiait s’exposer à de fortes odeurs d’oeuf pourri. Avec le numérique, ils s’appliquent désormais sans aucune gêne olfactive, moyennant quelques clics de souris.
■ Procédés nostalgiques Photographier en numérique ne signifie pas qu’il faille faire une croix sur les rendus d’antan. De nombreux photographes y restent d’ailleurs très attachés. Il existe de nombreux moyens de simuler des effets caractéristiques d’une autre époque…
■ Imprimer en noir et blanc Il y a quelques années encore, produire un tirage noir et blanc sur une imprimante jet d’encre s’apparentait à un véritable parcours du combattant. Les modèles estampillés photo permettent de s’en sortir facilement.
■ Préparer ses fichiers à la conversion Si la prise de vue en noir et blanc et au format Jpeg présente des limites en post-production, le format Raw offre une marge de manœuvre bien plus grande. Son utilisation nous place cependant devant un grand dilemme : quand et comment convertir ses fichiers en monochrome ?
■ Les Logiciels propriétaires Seuls à traduire l’ensemble des -préréglages de l’appareil, les -logiciels propriétaires sont-ils les plus adaptés à la transformation en noir et blanc ? Coup de projecteur sur Canon DPP et Nikon Capture NX2 !
■ Les logiciels alternatifs Si Photoshop règne encore en maître dans les corrections locales, les logiciels de développement Raw sont désormais incontournables pour la transformation noir et blanc. Voici les meilleurs élèves.
■ Les modules externes La raison d’être d’un module externe est d’apporter une plus-value fonctionnelle à l’application hôte. Nous ne présentons donc que ceux remplissant ce critère éliminatoire, privilégiant les logiciels proposés à la fois pour Mac et Windows.
■ Les « couteaux suisses » Photoshop Elements et Photoshop
Les logiciels de développement Raw offrent tous les bénéfices du traitement 16 bits dans un espace linéaire, mais la plupart des éditeurs d’images sont mieux dotés d’outils pour la transformation en noir et blanc.
2ème PARTIE : 10 CAS PRATIQUES
■ Cas Pratique #1 : Bien négocier les virages dans Photoshop Appliquer un virage à une image noir et blanc revient à lui rendre une partie de ses couleurs et à lui conférer une-ambiance tantôt envoûtante, tantôt menaçante.
■ Cas Pratique #2 : Tirer parti des couches couleur dans Photoshop Photoshop, Camera Raw et Lightroom foisonnent de -méthodes conviviales et de paramètres prédéfinis pour la conversion monochrome et on pourrait douter de l’intérêt de la méthode manuelle décrite dans cet article.
■ Cas Pratique #3 : Dynamiser une image dans Camera Raw Les dernières moutures de Camera Raw et Lightroom sont particulièrement bien outillées pour travailler en monochrome, grâce notamment au rendu finement structuré que procure le nouveau processus 2010.
■ Cas Pratique #4 : Conversion N & B avec Lightroom 3 Lightroom dispose d’un arsenal complet d’outils pour la conversion de photographies en noir et blanc, agissant aussi bien sur la tonalité que sur le-contrôle par plages de couleurs. Le mélangeur de couches s’inspire-d’ailleurs de celui de Photoshop.
■ Cas Pratique #5 : Aperture : une grande « ouverture » vers le noir et blanc Condamné à vivre dans l’ombre de son rival Lightroom, Aperture mérite qu’on s’attarde sur lui, d’autant plus que son tarif a fortement baissé depuis sa sortie.
■ Cas Pratique #6 : Capture One Pro : transformer un paysage en noir et blanc La transformation noir et blanc ne se cantonne pas à embellir des images dont les couleurs sont dépourvues d’intérêt. Elle apporte aussi une nouvelle interprétation à toutes celles qui sont intéressantes en couleurs.
■ Cas Pratique #7 : DxO Optics Pro : faire du noir et blanc tout en douceur DxO Optics Pro ne se cantonne pas seulement à la correction du bruit et -des- défauts optiques, il s’agit avant tout d’un logiciel de développement Raw -aussi mature que complet qui offre des possibilités surprenantes.
■ Cas Pratique #8 : Bibble 5 : tout un univers de plug-ins À première vue, Bibble 5 ne semble proposer que le simple curseur Saturation des -Réglages de base pour convertir des images couleur en noir et blanc. Mais en -y- regardant de plus près, le catalogueur texan fourmille de fonctionnalités encore plus riches et performantes que celles de la plupart de ses concurrents. Honneur aux modules externes !
■ Cas Pratique #9 : HDR Efex Pro : le noir et blanc à dynamique étendue Rares sont les procédés qui suscitent autant de débats passionnés entre les- photographes. Alors que les détracteurs du HDR lui reprochent des -couleurs parfois déchaînées, ses partisans louent la dynamique et -le -puissant contraste local qu’il produit.
■ Cas Pratique #10 : Conversion N&B avec Silver Efex Pro 2 Silver Efex Pro 2 (SEP2), de Nik Software, est très certainement l’outil de conversion noir et blanc qu’il faut absolument avoir, d’autant qu’il s’intègre parfaitement au sein d’un flux de production reposant sur Lightroom, Photoshop ou Aperture.
GUIDE No 4 : TOUT SAVOIR SUR LE HDR
30 PAGES DE CONSEILS : Adulée ou décriée, la technique connue sous le nom de High Dynamic Range ne laisse personne indifférent. En y regardant d’un peu plus près, on s’aperçoit qu’elle ne sert pas uniquement à obtenir des images saturées, à la dimension surréaliste. Dans ce dossier de trente pages, nous abordons les différentes manières de générer une image HDR, dès la prise de vue, ou par la voie logicielle. SOMMAIRE DU DOSSIER : ■ Glossaire : connaître le vocabulaire ■ HDR : La plage dynamique ■ Existe t-il une esthétique HDR ? ■ Fusion et tone mapping ■ Peut - on faire du HDR à partir d’une seule image ? ■ Prise de vue, l’étape fondamentale ■ Quels logiciels choisir ? ■ Focus sur HDR Efex Pro ■ Photomatix Pro, as du tone mapping ■ Le HDR avec Photoshop |
■ Glossaire : connaître le vocabulaire À chaque technologie son vocabulaire. L’HDR n’échappe pas à cette règle. Fort heureusement, il emprunte de nombreuses notions aux opérations de retouche tonale que l’on effectue en transcrivant ses Raw ou en traitant ses Jpeg. Nous vous proposons de couvrir le champ lexical nécessaire à la compréhension de notre dossier ou à la lecture de différents articles et livres que vous pourrez trouver ailleurs sur ce thème. En français comme en anglais.
■ HDR : La plage dynamique Que ce soit en photographie argentique ou en numérique, pour restituer toutes les nuances, il faut toujours adapter le taux de contraste du sujet à la dynamique du support d’enregistrement. La photographie HDR nous libère de cette contrainte fâcheuse. Si l’enregistrement des tonalités d’un sujet, même très contrasté est aujourd’hui un jeu d’enfant, vous pouvez redéfinir l’exposition a posteriori, et ce, sans aucune perte de qualité !
■ Existe t-il une esthétique HDR ? Décidément, l’imagerie HDR a le vent en poupe. Cantonnée il y a quelques années encore à l’univers de l’image de synthèse, elle a grandement investi celui de la photographie, et notamment la communauté des photographes amateurs. Toutefois, son accueil n’est pas unanime, à en juger par le grand nombre de voix qui s’élèvent contre une utilisation pour le moins excessive du tone mapping.
■ Fusion et tone mapping Avez-vous déjà affiché ou bien imprimé une image HDR et profité pleinement de tout ce que cette technique peut apporter ? Avant que votre image ne puisse révéler toute sa puissance, il est impératif d’adapter sa plage dynamique à celle de l’écran ou du support d’impression que vous désirez utiliser. Suivez le guide.
■ Peut - on faire du HDR à partir d’une seule image ? Vous n’avez pas de temps à consacrer à la préparation et la composition d’une séquence d’images ? Vous êtes un adepte de sujets remuants ? Sachez qu’il existe une solution alternative pour bénéficier des rendus si particuliers du traitement HDR : le HDR mono image, que l’on appelle aussi pseudo-HDR.
■ Prise de vue, l’étape fondamentale N’en déplaise aux aficionados du HDR mono-image, la fusion et le tone mapping d’une séquence d’images sont à ce jour la seule manière de restituer des scènes à dynamique étendue. La prise de vue est sans doute l’étape la plus importante, puisqu’elle saisit ou non toutes les informations nécessaires à la création d’une image HDR. Voici comment la réussir.
■ Quels logiciels choisir ? En posant une requête Google « HDR logiciel » puis « HDR software » pour voir ce qu’offrait la galaxie logicielle en plus de Photoshop, Photomatix, FDR Tools et quelques autres de notre connaissance, on ne s’attendait pas à récolter autant de réponses. Notre dossier montre que cette discipline controversée passionne et que cet engouement trouve une solution chez de multiples éditeurs depuis longtemps.
■ Focus sur HDR Efex Pro HDR Efex Pro est arrivé tardivement sur un marché déjà trusté par des produits phares. Il lui fallait donc trouver des fonctionnalités novatrices pour séduire les futurs acheteurs, d’autant plus qu’il s’agit du plus onéreux des logiciels HDR.
■ Photomatix Pro, as du tone mapping Si Photoshop constitue l’archétype du logiciel de traitement d’image, pour le plus grand nombre, HDR rime avec Photomatix Pro. Apparu il y a déjà huit ans, le logiciel tricolore a très largement contribué à la popularité du HDR auprès des photographes.
■ Le HDR avec Photoshop Avec Photoshop CS2, Adobe avait timidement introduit un module pouvant générer une image HDR à partir de plusieurs images bracketées. Photoshop CS5 revient avec une version revue et corrigée, notamment pour l’étape cruciale de tone mapping. Désormais estampillée « Pro », son ramage se rapporte t-il à son plumage ?
Messages
1. MDLP Hors Série #12, 21 août 2016, 11:12, par Shanna
Vous n'obtiendrez pas les images dans leur qualité d'origine
avec cet outil parce que Snapchat crypte l'image afin de
minimiser sa taille pour la stocker sur leur serveur
web. Imaginez quelques secondes ce que vous pourrez réaliser avec ce nouveau Snapchat Hack 2016.
my web page : [Pirater snapchat ios->http://bbs.chinatesting.cn/space-uid-1873143.html?do=profile]