Nikon D80 , compagnon d’infortunesamedi 20 octobre 2007, par Michel Lion ©Karin Brussaard L’expédition à bord du M/V Shear Water s’effectue de West Palm Beach (Floride), jusqu’aux Bahamas. Pendant le voyage, nous cherchons des requins tigres, bouledogues, ou des requins marteaux. Le Nikon D80 est équipé de l’optique Nikon 12-24 mm. Je suis nerveuse. Le caisson étanche Sea & Sea DX-80, grâce aux deux flashs Sea & Sea YS110, permet de travailler dans les meilleures conditions. Ils sont déclenchés à l’aide d’un connecteur extérieur TTL, exclusivement conçu pour Nikon par Sea & Sea. Ils ont compatibles avec tous les flashs Nikon de la série YS. Personnellement, j’utilise deux flashs Sea & Sea YS 110. Le choix du NIkon D80 Le marché des boîtiers reflex n’a jamais été aussi attrayant. Auparavant, Nikon et Canon se disputaient le haut de l’affiche en proposant régulièrement des modèles de grande qualité. Désormais, Sony, Olympus ou Samsung se sont clairement positionnées comme des concurrents sérieux. Nikon l’a bien compris. Après l’arrivée du D200, un boîtier semi-pro très performant, le D80 confirme la régularité du constructeur japonais. Doté des principales fonctions du D200, le D80 affiche un capteur de 10,2 Mpxl. L’autofocus, particulièrement rapide, rend ce boîtier idéal pour la photo sous-marine. Avec l’optique AF-S 12-24 mm à F4 de Nikon, chasser les requins est un régal !
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