L’application se base pour cela sur un moteur d’intelligence artificielle qui analyse l’image qu’on lui soumet, détecte ses différents éléments (ciel, visages, etc.) et applique les améliorations qu’il juge pertinentes. La grande force de l’application est « d’apprendre » des photos qui lui sont soumises. Si l’utilisateur accepte les modifications proposées et sauvegarde l’image, celles-ci son placées dans une « liste blanche » et seront prises en compte lorsqu’une image aux caractéristiques similaires sera à nouveau soumise. Si l’image n’est pas sauvegardée, les modifications vont rejoindre une « liste noire » et ne seront plus considérées comme pertinentes.

L’interface de l’application ne propose aucune option de retouche, tout est fait automatiquement.

Pendant la phase de bêta-test, un peu plus de 70 000 images ont été soumises à la sagacité de l’application, constituant ainsi une bonne base de départ.
L’interface de Photolemur reflète bien la simplicité voulue par ses concepteurs : un seul curseur est présent afin de régler l’intensité de la correction qui sera appliquée. Le logiciel est capable d’agir automatiquement sur de nombreux paramètres de l’image : les couleurs (saturation, contraste, etc.), la tonalité du ciel, la compensation d’exposition ou encore la balance des blancs. La réduction de bruit, la suppression des imperfections de la peau ou la correction d’artefacts Jpegs sont prévues pour les versions suivantes.
Photolemur dispose d’un module de traitement par lots (jusqu’à 40 photos), prend en charge les fichiers Raw de plus de six cents appareils et peut fonctionner comme une extension de l’application Photos de Mac OS.

Le logiciel est disponible dans un premier temps pour les Mac d’Apple, une version Windows et pour tablettes/smartphones étant prévues courant 2017.
Vendue 79 €, l’application est actuellement disponible en précommande pour 29 €.

Plus d’informations par ici.