Il est d’ores et déjà possible de proposer sa candidature à la Résidence BMW 2015 !
BMW France lance son appel à candidature pour la Résidence 2015 au Musée Nicéphore Niépce de Chalon-sur-Saône.
Pour participer à cette cinquième édition du concours, il faudra postuler sur le site de BMW. Un dossier composé entre autres d’une bio, d’un dossier de présentation du projet, d’une série d’images imprimées de travaux aboutis et éventuellement de recommandations de personnalités du monde de la photographie devra être constitué avant le 15 avril 2015. Le tout sera à transmettre par voie postale directement au Musée Nicéphore Niépce.
Le jury, composé de Sam Stourdzé, directeur des Rencontres d’Arles, du directeur de Paris Photo, de Damien Bachelot, collectionneur, de Chantal Nedjib, Présidente de l’Image par l’Image, de François Cheval, le conservateur du musée Nicéphore Niépce et de la responsable du mécénat culturel BMW France, se réunira pour désigner un lauréat parmi dix dossiers présélectionnés. Le lauréat sera officiellement annoncé pendant la semaine d’ouverture des Rencontres d’Arles 2015.
Il remportera une bourse de 6000 €, pour réaliser son projet, ainsi que la prise en charge de ses frais d’hébergement pendant les trois mois de la résidence qui se tiendra du 07 septembre au 27 novembre 2015. De plus, son projet sera exposé durant les Rencontres D’Arles et à Paris Photo en 2016. Une sélection d’œuvres réalisées pendant la Résidence sera également présentée dans un livre édité à 1000 exemplaires aux éditions Trocadéro.
L’an dernier, l’artiste anglaise Natasha Caruana a remporté le concours pour son travail basé sur des rencontres avec des anonymes.
Info pratiques
Musée Nicéphore Niépce
28, quai des Messageries
71 100 Chalon-sur-Saône
Crédit image d’accueil :
Natasha Caruana, Lauréate 2014 Love at first sight © Natasha Caruana
Messages
1. Résidence BMW au Musée Nicéphore Niépce 2015 : les candidatures sont ouvertes, 12 mars 2015, 18:52
La paupérisation du métier de photographe est en marche...
Les éditeurs, les institutionnels, les fabricants, les médias, les réseaux sociaux, etc. ; en fait, toutes les entreprises exploitent ce filon en spoliant la création d’autrui.