Toujours en retrait fonctionnel sur la version Windows, la version macOS d’ACDSee Photo Studio s’est néanmoins enrichie, à l’occasion de sa septième édition, d’outils locaux : pinceau et masques dégradés, outils de clonage et de réparation.
Si le logiciel sous Windows ACDSee Photo Studio Ultimate 2021 présente un historique plus long et donc un champ fonctionnel bien plus large, notamment avec des sauvegardes planifiées des photos, une gestion des calques et des fonctions créatives, la version sous macOS (depuis la version 10.14) est totalement orientée vers le traitement des photos.
Le compartiment d’organisation ne bouge que marginalement. Assurant l’importation structurée, la gestion des IPTC (extensions incluses), l’application de mot-clés hiérarchiques mis en bibliothèque ou le placement dans une catégorie, les notations évidemment et les traitements par lots. La version 7 amène quelques ajustements ergonomiques, comme l’affectation des notes et balises colorées à partir d’un panneau où cliquer, plutôt que par cliquer/glisser. La recherche des vidéos, des images sans étiquettes ou catégories est introduite.
Du côté de la retouche, le module Développer qui ne reconnaît pas les Raw compressés sortis d’un capteur Fujifilm X-Trans, comble une absence avec l’introduction des retouches locales avec des masques dégradés linéaires ou radiaux, ou encore un pinceau, ce dernier pouvant être sensible à la couleur ou à la luminosité. Chaque catégorie peut en comporter huit au maximum. De plus, les préréglages locaux sont enregistrables en tant que réglage utilisateur.
Le logiciel, francisé, est proposé en version d’évaluation, dans la page descriptive. Il est vendu, en dehors de toute période promotionnelle, environ 115 € en licence perpétuelle.