©Jean-François Vibert - Parfois il ne faut pas hésiter à se mouiller ! Sans être tropicalisé, l’EOS 5D s’est montré plutôt résistant aux projections et au sable... |
Un petit coup de chiffon chaque soir est suffisant pour éviter les ennuis. L’absence de flash protège toute la partie supérieure du boîtier qui de ce fait est également moins sensible aux petits accrochages (quand on le glisse dans un sac en vrac. l’EOS 5D "fait costaud"... L’utilisation d’objectifs équipés d’un joint d’étanchéité participe en plus à la bonne tenue de l’ensemble.
Contrairement à ce que je faisais au début du numérique (ou je shootais sans vérifier mes images façon photo argentique), je me suis finalement rendu compte qu’en éliminant tout au long de la journée des images moyennes, on gagne tout de même un peu de temps le soir lorsqu’il s’agit de décharger ses cartes de 1 et 2 Go...
©Jean-François Vibert - Elle a un petit côté "Apocalypose now" cette image ! J’ai monté mon 70-200 f/2.8 sur son 5D et je cours partout comme un chien fou en attendant le coucher du soleil... |
J’en profite pour soumettre quelques idées aux ergonomes et ingénieurs de Canon à propos de la délicate question de l’affichage de l’histogramme. Rêvons un peu : il serait génial que ce dernier puisse être affiché instantanément dans le viseur de l’appareil, dès qu’une image a été réalisée. Ou mieux encore dès que le déclencheur est pressé à mi-course avec une mise à jour dynamique de celui-ci en fonction du cadrage et des réglages (comme dans Photoshop)… Ce serait pratique ça non ?