03/09/2009 – Longtemps restée au catalogue, la Stylus Photo Pro 3800 fait place à modèle usant la dernière génération d’encre UltraChrome, avec le Vivid Magenta, mais toujours les petits défauts irritants de sa cadette.
La 3800 est une remarquable imprimante, personne ne le conteste, à la fois pour des tirages d’exposition et pour l’épreuvage logiciel. Et pas encombrante tenu compte du fait qu’elle offre des sorties A2+. Son évolution lui fait prendre en charge l’encre Vivid Magenta (dans ses versions normale et éclaircie) pour élargir un peu le gamut dans les rouges et les bleus. Et donc intégrer la quatrième génération d’encre UltraChrome, dite K3, ce qui a nécessité le développement d’une nouvelle tête Micro Piezo. Malheureusement Epson n’en a pas profité pour ajouter une zone d’éjection de l’encre, qui aurait évité la purge lors du passage de la cartouche noir photo (papier brillant) au réservoir noir mat (papier beaux-arts). Un dispositif qui consomme à la fois un peu de temps et d’encre. Maigre consolation, l’imprimante n’est pas plus large. L’autre reproche adressé à la 3800, l’absence de gestion du papier en rouleau, n’a pas été pris en compte.
La 3880 dispose d’interfaces USB et Ethernet, et de trois chemins d’alimentation : automatique, manuelle à l’arrière et manuelle par l’avant.
La Stylus Photo Pro 3880 sera disponible le premier octobre et quelques aspects ne sont pas encore figés. Si le prix hors-taxe est de 1 395 €, le prix public conseillé (qui ne résulte pas forcément de l’ajout des 19,6 % de TVA) n’est pas encore établi. Pas plus que l’offre logicielle définitive.