Au lieu d’imprimer sur du papier, l’Instax SP-1 utilisait des cartouches de films instantanés Instax Mini. Le principe reste le même pour l’Instax Share SP-2, avec toutefois quelques changements notables. Si la surface imprimée reste la même (46 x 62 mm), tout le reste change. Un nouveau module d’impression autorise une définition plus élevée (320 ppp contre 254 ppp précédemment, soit un passage de 480 x 600 à 600 x 800 points) ainsi qu’une rapidité accrue (une dizaine de secondes contre près d’une minute : on demande à voir). La carrosserie plus anguleuse est déclinée en deux versions (blanc / argent et blanc / doré) et l’alimentation a été revue puisqu’elle est désormais assurée par une batterie rechargeable en micro USB.

L’application d’impression propose de nouveaux modèles d’impression, uniquement utilisables avec l’Instax Share SP-2.

La SP-1 était compatible avec les dernières versions de firmware des appareils Fujifilm récents équipés d’une connexion WiFi : espérons qu’il en soit de même pour la SP-2. L’application Instax Share, disponible pour iOS et Android, a elle aussi été revue. Elle offre désormais quelques de nouveaux modèles d’impression, confirmant ainsi l’aspect ludique du produit. On l’aura compris, il ne s’agit pas ici de délivrer les meilleures images possibles (même si la SP-2 devrait pouvoir se défendre honorablement), mais de fournir un moyen de partage d’images original et rémunérateur pour Fujifilm, un pack de 2x10 films étant facturé près de 20 €. Annoncée pour l’instant aux USA, l’Instax Share SP-2 y est vendue 200 $ (contre 149 $ pour SP-1 à son annonce). Elle sera commercialisée en France dans le courant de l’été, autour de 199 €.

Plus d’infos (en anglais) par ici.