L’autre raison pour laquelle nous avons souvent évolué avec deux boîtiers en même temps (lire premier chapitre), est liée au problème de l’exposition du capteur lors de changements d’optiques sur le X-E1. Ainsi, quand le 18-55 mm f/2,8-4 OIS était laissé au repos (nous l’avons utilisé la plupart du temps, lire Cahier technique page 103), nous veillions à ne pas trop alterner entre les focales fixes. Et nous procédions au moindre changement à l’abri du vent. Malgré cette précaution, l’activation du système antipoussière (voir Cahier technique) et quelques coups de bombe à air, nous avons déploré la présence de taches sur des fichiers pris à faible ouverture avec le X-E1. Aussi, pour effectuer des prises de vues de paysages en fermant le diaphragme, nous avons privilégié le X100s et son 35 mm fixe.

Photo : Benjamin Favier

Fujifilm X-E1 avec 18-55 mm f/2,8-4 R LM OIS à 42 mm - 1/375s - f/11 - 400 Iso

Afin de protéger l’écran LCD, nous avons appliqué des films dédiés sur chaque appareil, pour éviter les rayures : le X100s était suspendu à une sangle Black Rapid (voir Cahier technique dans le magazine), ce qui l’exposait un peu plus à d’éventuels chocs dans les ruelles bondées. La présence d’un pare-soleil (visuel ci-dessous et lire Cahier technique dans le magazine) sur les X100s et X20 s’inscrivait également dans cette logique.

MDLP N°59, Octobre 2013  Retrouvez l’intégralité de notre reportage test en Indes sur le Fujifilm FinePix X-E1, X20 et X100s dans notre numéro cinquante-neuf du MondedelaPHOTO.com, actuellement en kiosque.  Lire le sommaire du N° 59 de MDLP