Le dernier smartphone remarqué du coréen LG fut le G4 annoncé début 2015. Depuis, le constructeur n’a pas rencontré le succès en 2016 avec le G5 (dont la conception modulaire n’a pas séduite) ni avec le G6 en 2017, jugé trop cher et pas assez novateur. Parallèlement le V30, vitrine technologique de LG, a connu un succès d’estime malgré d’indéniables qualités.
Le G7 ThinQ, annoncé il y a quelques jours, ne se démarque pas véritablement de la concurrence au niveau de ses principales caractéristiques : design sobre, fabrication en métal et en verre, écran à encoche, processeur ultra-puissant de dernière génération et intelligence artificielle à tous les étages.

Le G7 ThinQ embarque un module photo dorsal équipé de deux capteurs de 16 Mpxl dont les caractéristiques techniques n’ont pas été dévoilées. L’un est équipé d’un objectif « standard » ouvrant à f/1,6 (angle de vision de 80°) tandis que l’autre bénéficie d’une ouverture de f/1,9 et a droit à un « super grand-angle » de 107°. L’objectif standard est équipé d’une stabilisation optique, ce qui n’est pas le cas du grand-angle. La mise au point est assurée par un double autofocus laser + détection de phase. A en croire le constructeur, la qualité des images en basse luminosité devrait être l’un des points forts du G7 ThinQ, qui propose aussi un mode portrait avec bokeh artificiel, la reconnaissance par intelligence artificielle de 19 types de scènes et le tri automatique des images en albums selon leur contenu.
Sur l’aspect photographique, le G7 ThinQ est très proche de ce que propose la concurrence. Reste à vérifier à l’utilisation un éventuel avantage décisif mais il faudra pour cela patienter un peu, le smartphone devant être disponible en France en juin au prix de 849 €.

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