L’objectif a été essayé sur notre site habituel, par un temps plutôt gris (ce qui est plus défavorable) et en utilisant le stabilisateur. Les extraits sont tirés de fichiers Nef développés avec Nikon Capture NX2. Une fois de plus, en examinant ces résultats à l’écran on ne doit pas perdre de vue que l’on scrute la partie d’une image qui ferait 1,12 m de large sur un écran 96 ppp… et 1,50 m de large sur un vieil écran 72 ppp.
On constate sur ces prises de vues à distance que l’on a une perte de rendement dans les angles à pleine ouverture entre 28 et 50 mm, alors que le centre est toujours du meilleur niveau, ce qui confirme les écarts mesurés sur mire. En paysage à 200 et 300 mm on aura peut-être intérêt à augmenter un peu le contraste et la netteté en se positionnant sur le mode « saturé ».
Champ couvert à 28 mm.
Champ couvert à 300 mm.
Piqué à pleine ouverture et F8 pour les focales de 28 à 300 mm.
Le 28-300 mm VR a été éprouvé dans une situation typique de reportage lors de courses de voitures historiques à Spa où l’exemplaire testé a été soumis à une situation climatique contrastée… la pluie est fréquente sur ce circuit en septembre ! Au dernier moment j’ai du renoncer à aller sur cette course, les prises de vues sont donc dues à la courtoisie de P. Jammes avec qui je fais généralement équipe sur ce type de sujet, et qui a utilisé un Nikon D3s.
Rare rayon de soleil… 28 mm F10.
Départ sous la pluie 300 mm F7,1.
Au garage 50 mm F8.
Singing’in the rain 300 mm F5,6.
Le stabilisateur facilite les filés en vitesse lente 35 mm F7,1.
La mise au point rapprochée est un atout 200 mm F5,6.
Photos : P. Jammes