TEST : Olympus SP-550 UZ 


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Les menus

vendredi 27 juillet 2007, par Laurent Katz


La configuration


- Avec la fonction My Mode, Olympus vous propose de sauvegarder quatre configurations complètes du SP-550UZ. Elles enregistrent de nombreux paramètres : qualité d’image, mode d’affichage avec ou sans grille de composition/histogramme, focale du zoom, mode et correcteur d’exposition, vitesse et/ou diaphragme selon la priorité ou le réglage manuel, activation du flash, paramètres de rendu, type de fichier et définition… en tout 37 réglages !

- La touche d’activation du stabilisateur, si l’on décide de laisser ce dernier actif en permanence, peut être programmée pour accéder immédiatement à un réglage que l’on pratique plus : la qualité d’image, une des nombreuses options relatives à la mise au point, le réducteur de bruit, l’ajout d’un commentaire sonore…

- L’aide à la composition peut être activée sous le terme moyennement significatif de Guide cadre. Il s’agit soit de la grille 3 x 3 classiques, soit d’un affichage des diagonales et des axes.

- L’affichage de l’histogramme peut être inhibé. Quand il est actif, il peut prendre deux formes, soit la courbe est affichée, soit les noirs bouchés et les blancs brûlés sont affichés en bleu et en rouge. Une solution satisfaisante pour des prises vue en studio ou sur pied en extérieur, quand on cherche à peaufiner une photo, mais pas toujours agréable pour la photo courante.

La prise de vue


- La zone de cadrage permet d’obtenir, pas en même temps, un guide de visée via une grille de composition ou l’histogramme des nivaux de luminosité. Les autres indications, que l’on peut faire disparaître pour mieux se concentrer sur l’image, sont réparties sur le pourtour, d’une manière fort peu discrète.

- Les modes scènes sont présentés dans un bandeau vertical, celui qui est sélectionné bénéficiant d’une vignette représentative et d’un court texte explicatif. En voici la liste : Portrait, Paysage, Paysage+portrait, Sport, Scène nuit, Nuit+portrait, Intérieur, Bougie, Auto portrait, Naturel, Coucher de soleil, Feux d’artifices, Cuisine, Vitrine, Documents, Enchère, Prendre et choisir1, Prendre et choisir2, Plage, Neige, Sous-marin large, Sous-marin large et Sous-marin macro.

- Le menu principal de prise de vue est la porte d’entrée vers des sous-menus plus spécifiques, comme les paramètres de prise de vue, l’accès aux modes Scènes, l’ajustement de la définition et du type de fichier, le réglage des sons et du volume, les paramètres généraux de configuration.

- Le guide de prise de vue, accessible sur le sélecteur de fonctions, propose des cas de figure caractéristiques, correspondant à des types de prise de vue particuliers. Le débutant choisit celui qui semble convenir le mieux et, après validation, l’appareil est réglé en conséquence. Reste que ce mode n’est pas toujours suffisamment explicite et précis, parce qu’il ne gère pas plusieurs situations en même temps, comme photographier de près en lumière artificielle.

- Ce menu regroupe différents paramètres accessibles par le menu de prise de vue, afin de les rendre plus rapidement modifiables sur le terrain. Il concerne la balance des blancs, la sensibilité, le bracketing et le mode de fonctionnement de la cellule.

- Le menu de prise de vue reprend l’ensemble des réglages, y compris ceux qui sont accessibles plus directement par une touche ou par le menu de fonction et qui se retrouvent dans l’écran numéro un de ce menu très copieux (balance des blancs, sensibilité, cadence…).

- La mise au point est ajustable en modes automatique ou manuel. Quand l’autofocus est choisi, celui-ci peut être activé au déclenchement ou en continu, avec au besoin un suivi prédictif tenant compte du déplacement du sujet.

- Le troisième écran présente les options liées au fonctionnement du flash, dont le correcteur d’éclair, et l’activation du stabilisateur ce qui, du coup, libère la touche du boîtier pour l’affecter à une autre commande.

- Le quatrième écran présente des options liées au rendu, comme le correcteur fin de balance des blancs, l’ajustement des niveaux d’accentuation et de contraste. Il positionne l’enregistrement d’un commentaire sonore à la photo et, si une carte Olympus est présente, active l’aide à la photographie panoramique, une assistance peu efficace comparée à ce que propose la concurrence.

- Le dernier écran débute par l’ajustement de la saturation. Il offre la fonction intervallomètre (un peu légère par ses options !), pour un déclenchement automatique (2 à 99 photos à intervalles compris entre 1 et 99 mn).

La consultation


- A l’image du menu de prise de vue, celui de lecture donne aussi accès aux réglages de la configuration et aux sons de l’appareil. Mais il renvoie vers les différentes activités comme le diaporama et l’impression, l’affichage calendaire direct ou la vue en index, la retouche des photos et l’effacement, ainsi que vers les options générales de lecture.

- L’image est montrée plein cadre, avec ou sans les données techniques, comme l’ouverture, la vitesse, la sensibilité, la balance des blancs, le format de fichier et l’horodatage. Un affichage qui peut être prolongé par un zoom allant jusqu’à 10 fois, ou par la présence d’une fiche avec l’histogramme de luminosité.

- L’affichage calendaire, avec les mentions des jours et mois non traduites, permet d’accéder plus facilement à certaines photos, par exemple celles prises une journée particulière de vacances, marquée par une excursion ou une rencontre avec des amis.

- Des interventions in situ sont proposées sur les photos. Outre les passages en noir et blanc et en sépia, elles consistent à recadrer la photo, réduire sa définition et corriger les yeux les yeux rouges.

- Le SP-550UZ est l’un des rares appareils, toutes catégories confondues, permettant de convertir les fichiers Raw en Jpeg, avec la capacité d’intervenir sur la balance des blancs (avec affinement sur le rouge et le vert), l’accentuation, la saturation et le contraste.

- Il existe plusieurs effets pour mettre les photos en situation. Par exemple, incruster une image dans un calendrier, la placer dans un décor, en regrouper plusieurs dans une présentation ou en plaquant un texte dessus. Elles prennent leur intérêt en déplacement, quand un ordinateur n’est pas disponible et que l’on vise une impression directe sur une imprimante autonome, acceptant une carte mémoire ou offrant la compatibilité PictBridge. L’image est sauvegardée dans un nouveau fichier.

- Quand la photo est insérée dans un cadre, vous pouvez la faire pivoter sur 90°, modifier sa taille pour n’en voir qu’une partie et la déplacer pour sélectionner la zone apparente.

- Ici, vous créez un calendrier mensuel ou trimestriel avec une image. Il existe plusieurs dispositions et vous pouvez faire pivoter la photo.

- La fonction consiste à superposer un texte, prédéfini et en anglais, Olympus n’ayant jamais pris la peine de traduire les Happy birthday et I love you. Vous déterminez l’emplacement et la taille du texte, sa couleur (teinte et luminosité) avant d’enregistrer l’image.
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Podcast
Déclencheur est le lien entre la passion pour la photo de Benoît Marchal et son enthousiasme pour le Web 2.0. MDLP*(Monde De La Photo) est heureux d’accueillir Benoît, l’auteur de ce podcast très réussi et plein de bon sens.
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