Avec cette première mouture de l’ère DxO, la suite ne change pas d’un iota. L’éditeur français a franchi une première étape, l’adaptation aux récents systèmes d’exploitation laissée en plan par Google et la mise en place d’une politique tarifaire modeste.
La suite rachetée par Google n’évoluait plus et était gratuite. Avec sa prise en charge par DxO Labs, la philosophie change du tout au tout. Elle devient payante, mais pour seulement 69 € (49,99 € sur une période promotionnelle courant jusqu’au 31 juillet 2018). Une version d’essai gratuite, valable trente jours, est téléchargeable ici. Ce qui assure le financement de la mise à niveau par rapport à la dernière version de macOS ou de Windows qui caractérise cette version initiale. Cela permettra aussi des évolutions fonctionnelles. D’ailleurs DxO compte sur les utilisateurs, pour recevoir des propositions qui s’ajouteront à celles que ses développeurs ont en tête. Par exemple, intégrer la réduction de bruit Prime à Dfine qui assure la réduction de bruit ou, pourquoi pas, y incorporer certaines simulations de films de DxO FilmPack. Réponse dans la Nik Collection 2019.
On n’est pas surpris de constater que l’interface est restée identique, sans adaptation à la charte graphique des logiciels de l’éditeur. Même la mise en œuvre des U-Points n’a pas bougé, quand elle a fortement évolué au sein de DxO PhotoLab 1.2. Pour mémoire, la suite se compose de sept produits :
Chaque logiciel est accessible de manière autonome ou via un plug-in. D’ailleurs, la compatibilité avec Photoshop CC 2018, Lightroom Classic CC et Photoshop Elements 2017/2018 fut un autre objet des ajustements initiaux de DxO Labs. Mais leur accès au sein de DxO PhotoLab n’est pas proposé.
Des tutoriels vidéo sont en chantier et le support utilisateur mis en place. On remarque que la Nik Collection n’est en vente que sur le site de l’éditeur, mais pas sur l’Apple Store ou le Windows Store.