Le système de flash Nikon fait rêver par sa qualité et sa technicité. Ce nouvel opus, situé entre les SB-600 et SB-900, est plus proche de ce dernier, pour 360 €.
Ce flash cobra, puissant mais sans outrance (28 à 100 ISO pour une focale de 35 mm), offre une large palette de prestations. Avec un abord simple que revendique Nikon, en raison d’un large LCD informatif et de commandes directes. Pour son mode de fonctionnement (iTTL, manuel…), son type de répartition de l’éclair (une originalité Nikon) et un commutateur de mise sous tension qui précise aussi s’il fonctionne seul, en mode esclave ou maître. Pour le reste, une touche et une roue codeuse servent à manipuler les paramètres.
Le SB-700 assure la couverture d’un 24-120 mm (format FX), contre 17-200 mm pour le SB-900. Alimenté par des piles alcalines AA, il recycle en 2,5 s, mieux que son ainé (4 s). Quand il est monté sur un plein format dénué de flash, il officie comme contrôleur de flashs distants, mais ne pilote que deux groupes.
Dans sa boîte, il est accompagné d’un support, d’un dôme de diffusion, d’une paire de filtres (incandescent ou fluorescent) et d’un étui. Ces filtres rigides sont automatiquement détectés, afin que le flash envoie une information colorimétrique à l’appareil, pour qu’il en tienne compte quand il évalue automatiquement la balance des blancs. A titre d’accessoire, il dispose d’un cache anti-ruissèlement, pour un fonctionnement plus sûr avec les reflex tropicalisés. Sa commercialisation est attendue pour fin novembre.