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DOSSIER EXCLUSIF : ASSEMBLER SES PHOTOS

30 PAGES SPÉCIALES :

Réaliser une image panoramique, un cliché HDR ou une visite virtuelle sur Internet, les possibilités sont multiples. Si l’assemblage photographique a toujours été possible, l’avènement du numérique a largement simplifié la tâche des photographes, tant à la prise de vue qu’en postproduction. Les smartphones permettent eux aussi d’obtenir des résultats parfois étonnants, grâce à des applications intuitives et innovantes. Nous vous proposons un tour d’horizon des solutions existantes et reprenons les fondamentaux de la prise de vue destinée à ce type de montage. Sans oublier un focus sur les incontournables Photoshop, Autopano Pro et PTGui.

Table des matières :

■ Glossaire ■ Introduction technique ■ FAQ ■ Réaliser une image en gigapixels ■ Les différents types de projections géométriques ■ Faire vivre ses images ■ Focus sur Autopano Pro ■ Focus sur PTGui ■ Focus sur Photoshop ■ Dix conseils pour se lancer ■


■ Glossaire : Mots-clés. Avant de vous plonger dans la lecture de notre dossier, il est important que vous compreniez le sens des termes suivants. Vous n’en serez que mieux armés pour procéder à l’assemblage photographique de vos images.


■ Introduction technique : Lorsqu’on parle d’assemblage en photo numérique, on pense immédiatement à la photographie panoramique. Or, l’assemblage d’images autorise aujourd’hui bien d’autres prouesses techniques comme la photographie haute définition, l’augmentation de la dynamique (HDR) ou encore la fusion de clichés.


■ FAQ : Certaines questions reviennent régulièrement à propos de la technique par assemblage, qu’elle soit utilisée pour réaliser un panorama ou pour fusionner des images. En voici un florilège…


■ Réaliser une image en gigapixels : Puisqu’il est devenu très facile de coller des photos afin d’obtenir un panorama, rien n’empêche le photographe de prendre de très nombreux clichés. Non plus avec un grand-angle sur une seule rangée, mais sur plusieurs, avec un téléobjectif. Avec les APN actuels, dotés de définitions élevées, il est aisé de prendre des photos gigapixels… du moins sur le papier !


■ Les différents types de projections géométriques : Certaines photographies sont immédiatement identifiées comme des panoramiques au regard de leurs déformations typiques. La plus connue est une courbure prononcée de certaines lignes que l’on perçoit droites dans la vie,
alors que d’autres, moins typées, sont très étirées sur les côtés.


■ Faire vivre ses images : Un photographe panoramiste est avant tout un photographe. Le tirage de sa production constitue une finalité. Mais il ne faut pas négliger Internet, qui offre d’autres outils pour mettre son travail en avant.


■ Focus sur Autopano Pro : En moins de huit ans, Autopano Giga est devenu la référence des logiciels d’assemblage. Traduit dans de nombreuses langues, ce produit séduit autant les débutants que les utilisateurs avertis, car il automatise magistralement de nombreuses fonctions. L’utilisateur averti pourra néanmoins reprendre la main à tout moment s’il le désire.


■ Focus sur PTGui : PTGui est un logiciel d’assemblage historique, aujourd’hui parmi les meilleurs de sa catégorie. Ses utilisateurs l’ont souvent découvert en même temps qu’ils ont appréhendé la photo panoramique par assemblage sur ordinateur.


■ Focus sur Photoshop : Combiner des photos pour assembler un panorama, nettoyer une image, élargir la profondeur de champ, accroitre la dynamique, toutes ces opérations sont prises en charge par le logiciel d’Adobe.


■ Dix conseils pour se lancer : Même s’il peut sembler facile de réaliser un panorama par collage d’images, ce qui est un fait surtout quand l’appareil photo ne possède pas beaucoup de pixels, en respectant quelques règles de base, on peut largement en améliorer la qualité et surtout obtenir un bien meilleur « rendu ».

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TEST #1 : FUJIFILM FINEPIX X-Pro1

 Test : Fujifilm FinePix X-Pro1 Il y a moins d’un an, c’est impatient et curieux que nous accueillions le X100. Un pari qualitatif et ambitieux de la part d’une marque qui avait abandonné, quelques années auparavant, la lignée S Pro des reflex numériques. Fujifilm ne s’est pas résignée à quitter le devant de la scène et à laisser en plan les potentialités créatives d’ingénieurs et d’opticiens hors pair. Il faut dire que la marque équipe encore aujourd’hui en France, 80 % des objectifs employés en vidéo professionnelle. Elle a également su créer des capteurs originaux qu’elle a fabriqués elle-même. Le succès du X100, six milles ventes en France, cent mille dans le monde, a posé les fondations de la lignée X Premium, visant le haut du panier dans leurs catégories respectives. Sont apparus assez vite le compact X10 et le bridge X-S1, munis d’un capteur un peu plus grand que celui de la horde des compacts et bridges grand public et des modèles qualifiés d’experts (Canon G12, Nikon P7100, Panasonic LX5, Olympus XZ1, etc.). Avec l’émergence des hybrides, la marque entre de nouveau dans le jeu, forte de la philosophie et des acquis ayant présidé à la conception du X100. Sa volonté, jouer la carte du haut de gamme, de l’innovation et de la qualité d’image. Ne va-t-elle pas jusqu’à prétendre que le X-Pro1 est capable de rivaliser avec les reflex plein format ? Comme pour le X100, c’est un dossier exceptionnel que Le Monde de la Photo consacre à ce boîtier prometteur. Avec l’analyse des trois optiques que Jean-Marie Sepulchre s’est fait un plaisir de « passer à la moulinette » de DxO….