En ce début d’année, c’est la vague grand public qui anime les lancements d’Olympus. Avec comme points commun la généralisation des filtres artistiques, présents en plus ou moins grand nombre sur tous les modèles, même les plus modestes.
Choix automatique du bon mode Scène avec i-Auto, Shadow Adjustment Technology pour éclaircir les zones sombres, filtres magiques, mode Beauty pour peaufiner le rendu des visages, logiciel iB embarqué et téléchargeable de l’appareil à l’ordinateur sans liaison Internet ou CD-Rom... voilà ce qu’offrent la majorité des modèles lancés cet hiver. Et le HDR apparaît sur quelques modèles.
Voici l’essentiel concernant les compacts à venir, le site d’Olympus fournissant les fiches détaillées de chacun des modèles.
La série UZ, comme Ultra Zoom, est celle des compacts dotés d’un zoom surpuissant. Comme sur les bridges d’autres marques, une catégorie délaissée aujourd’hui par Olympus qui l’a pourtant inventée en argentique et lui a donné ses lettres de noblesse en numérique. Le SP-720UZ met en œuvre une fonction HDR (HDR Backlight Adjustment) que ne possède pas le SP-620UZ qui, lui, dispose du Multi-motion Movie IS pour filmer en marchant et obtenir une certaine stabilité. Le premier offre une douzaine de filtres magiques, quand le second en propose onze, tous deux ayant un mode 3D. Les modes Priorité ne sont pas proposés sur ces compacts au zoom ambitieux et multipliant les fonctions ludiques, la 3D par exemple.
Le SZ-14 comporte un zoom 24x, mais il n’appartient pas à la série SP, post-fixée « UZ ». Comprenne qui pourra dans les dénominations ! Sans doute en raison d’un design plus soigné, plus en courbes arrondies. Il allie la stabilisation Multi-motion, pour la vidéo à la présence de onze filtres artistiques. Mais comme les SP précités, il n’y pas de modes Priorités.
* SZ-14 (249 € mi janvier) : CCD 14 Mpxl stabilisé, vidéo 720p, zoom 24x 25-600 mm (éq. 24 x 36), LCD tactile 3 pouces/460 kpts
Le SH-21 esst un modèle de poche encore abordable et surtout très fin vu le zoom 12,5x qu’il intègre. Il embarque une multitude d’atouts, comme la stabilisation Multi-Motion IS pour compenser les mouvements du vidéaste qui filme en marchant, dix filtres magiques, les rafales à 7 im/s et le panorama par balayage, une première chez Olympus. Et son capteur Cmos rétroéclairé le fait monter à 3 200 Iso. Doté d’un LCD tactile, il met au point et déclenche suite à une simple pression sur l’écran. Pas mal pour 209 € !
Voici une nouvelle famille de compacts Olympus : la série VR. Design métal, boîtier fin, grip en façade. Photo en 3D, neuf filtres magiques sont le lot des deux modèles qui, pour des prix attractifs, offrent des zooms de grande amplitude démarrant à 24 mm (éq. 24 x 36) et un afficheur de 3 pouces et 460 kpts.
TG-320, avec un T comme tough, mot emblématique qui désigne chez Olympus les compacts endurcis. Celui-ci est le premier de la gamme, le plus économique. Son étanchéité ne l’amène qu’à 3 m. Il supporte les chutes de 1,5 m et se rit des -10°. Il photographie en 3D, propose huit filtres magiques. Un modèle qui convient tout à fait à un usage familial, à la neige ou à la plage. À confier aux enfants brise-tout pour les initier à la photographie.
Revêtu d’un boîtier tout en rondeur et décliné en six couleurs vives, le VH-210 offre pour moins de 90 € un étonnant faisceau de caractéristiques , la majorité des technos logicielles d’Olympus y étant présente. Sauf la vraie stabilisation, réalisée numériquement ici.
La série VG est l’entrée de gamme. Pas de stabilisateur optique ou mécanique ici, mais quand même le trio i-Auto, SAT et sept filtres magiques (9 pour le VG-170). Le VG-170 se distingue par un flash plus puissant (mode Long Flash associé à une augmentation de la sensibilité pour photographier à 15 m).