Photo : www.calendini.com

Composer une image avec rigueur et confort implique une visée performante. Une évidence que trop d’appareils ignorent. Avec un EVF bien défini et un bon écran orientable, le NX20 rempli son contrat et apporte 2 solutions complémentaires. En photo de rue, la discrétion du NX20 est un atout, tant par les possibilités de viser sans en avoir l’air, que par la douceur de son déclenchement (ce dernier, possible « en visuel » et à distance via un smartphone, ouvre aussi de nouvelles voies). Mais le temps d’allumage, de sortie de veille et le délai nécessaire à la mémoire tampon pour enregistrer les données en RAW+ JPG sont pénalisants. Les bonnes dispositions de l’AF en conditions classiques sont plus mitigées en basse lumière. Le NX20 sera donc plus à l’aise en paysage, en portrait, en architecture, ou dans toutes les disciplines où la rapidité n’est pas décisive. Côté qualité d’images, le capteur sait rendre justice aux meilleures optiques de la gamme. Le bond qualitatif obtenu à partir des RAW mérite vraiment de passer par un post traitement des fichiers bruts pour exploiter le plein potentiel du capteur.

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J’ai aimé

 Viseur 1,4 millions de points
 Ecran orientable multidirectionnel
 Capteur APS-C / 20,3Mpxl
 Fonctions Wi-Fi multiples et variées
 Nombreuses commandes directes
 Flash intégré
 Mesure multizone fiable
 Gamme optique complète
 Rapport qualité/ compacité des « pancake »
 Vitesse d’obturation au 1/8000s
 Touche iFn sur les objectifs
 Menus intuitifs

J’ai regretté

 Réactivité et détectivité AF perfectibles
 Temps d’enregistrement trop long
 Correcteur de dioptrie mal placé et trop souple
 Poids et encombrement de certaines focales
 Zooms peu lumineux
 Nettoyage automatique du capteur en sortie de veille
 Fonctions de la roue dorsale mal protégées
 Pas de commande pour basculer de l’écran à l’EVF

MDLP N°51, Décembre 2012  Retrouvez l’intégralité de notre test sur le Samsung NX20 au Maroc dans notre numéro cinquante-et-un du MondedelaPHOTO.com, actuellement en kiosque.  Lire le sommaire du N° 51 de MDLP