Une version VDSLR conçue pour tourner avec un reflex ou un hybride sort en même temps qu’un modèle classique, dédié aux photographes. Ces deux modèles, au rapport 1:1, seront disponibles au mois de mai.
Le constructeur sud-coréen maintient un rythme soutenu. Et désormais, deux modèles voient le jour simultanément, pour satisfaire à la fois photographes et vidéastes, comme ce fut le cas avec les deux 50 mm annoncés l’an passé. Samyang dévoile les 100 mm f/2,8 ED UMC Macro et 100 mm T3,1 VDSLR ED UMC Macro. Ce dernier dispose de deux bagues crénelées pour gérer la mise au point et l’ouverture à l’aide d’accessoires dédiés.
Comme sur les autres optiques Samyang, ces deux téléobjectifs sont dénués de système de stabilisation et de motorisation : la mise au point est uniquement manuelle. Seule la monture Nikon (AE) dispose d’une puce assurant la transmission d’informations aux boîtier. On peut gérer le diaphragme depuis l’appareil et avoir une confirmation de la mise au point via un témoin lumineux dans le viseur. On peut s’approcher jusqu’à 30 cm du sujet et réaliser des photos au rapport 1:1. La formule optique comprend quinze lentilles (dont une à haute réfraction et une autre à faible dispersion) en douze groupes. Les deux optiques ont droit à un traitement multicouche.
Ce modèle existe en plusieurs montures, aussi bien pour le plein format que l’APS-C, pour Canon, Nikon et Sony (montures Alpha, E et FE). Les possesseurs de boîtiers Fujifilm X, Samsung NX et Micro 4/3 sont également concernés. Le modèle le plus lourd pèse 770 g (version classique) : il s’agit de celui dédié aux Fujifilm X. À titre de comparaison, les versions Canon et Nikon accusent respectivement 720 et 705 g sur la balance.
Les prix sont de 539 € pour la version photo (579 € en monture Nikon AE), et 599 € pour le 100 mm VDSLR. Ces deux modèles sortiront en mai.