Le vignetage est visible, atteignant 0,9 IL à f/1,4 mais il diminue très fortement à f/2,8 (0,2 IL). La distorsion en coussinet est exemplairement faible (- 0,04%) sans aucune correction logicielle. L’aberration chromatique reste très bonne à pleine ouverture (1,4 pixel) et devient excellente à partir de f/2,8 (0,8 pixel).
| Vraiment le meilleur standard au monde ? |
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| En regardant dans notre stock de mesures, qui comprend tous les 50 mm f/1,4 actuellement disponibles pour le format 24 × 36, le Sigma 50 ART justifie les revendications du constructeur : aucun concurrent de cette focale et ouverture ne présente ce niveau de piqué sur tout le champ dès la pleine ouverture et une distorsion si limitée, y compris des légendes anciennes comme le Zeiss Planar ou le Leica Summilux. Ce n’est pas pour autant que la perfection est absolue, il reste un peu de vignetage et un peu de flare sur les sources lumineuses en photos de nuit (voir notre bonus web) mais globalement les adeptes du « 50 mm sinon rien » peuvent être comblés. Il sera intéressant de le confronter à un capteur encore plus exigeant dès que la version Nikon sera disponible, et de savoir si de surcroît il est capable de contester au Zeiss Otus 55 mm f/1,4 le titre revendiqué par ce dernier de « meilleur standard au monde ». Mais le Zeiss est à mise au point manuelle et se vend quatre fois plus cher. |
 MDLP N°67, Juillet 2014 Retrouvez l’intégralité de notre test sur le zoom Sigma ART 50 f/1,4 DG HSM dans notre numéro soixante-sept du MondedelaPHOTO.com, actuellement en kiosque, et en vente sur le site (paiement par CB 100% sécurisé) : Lire le sommaire du N° 67 de MDLP Commander le N° 67 de MDLP
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