Découvrez cette destination espagnole: plus abordable et moins bondée que Santorin!

Les habitations enduites de chaux, les sentiers pavés sinueux traversant des murs éblouissants de blancheur, des dômes bleutés surgissant au coin d’une petite place… presque tout y fait penser. L’atmosphère rappelle immédiatement les îles grecques, cependant, cette ville n’est pas perchée au-dessus de la mer Égée, mais bien nichée en Espagne, loin du tumulte touristique et des prix exorbitants de Santorin. Ici, pas besoin de se bousculer pour profiter d’un coucher de soleil ou d’attendre longtemps pour déguster un plat de poisson grillé. Le cadre est tout aussi idyllique, l’ambiance beaucoup plus sereine, et votre budget s’en trouvera soulagé.

Une alternative espagnole à Santorin de plus en plus prisée

Nikos Zorzos, le maire de Santorin, ne le cache plus : l’afflux constant de touristes menace la stabilité de l’île. Avec des milliers de visiteurs arrivant chaque jour en saison haute, le gouvernement grec a instauré une taxe de 20 euros pour essayer de limiter les arrivées, selon Le Journal des Femmes. Pendant ce temps, les constructions se multiplient, les coûts augmentent et l’authenticité commence à disparaître.

En réponse à cette saturation, de nombreux voyageurs se tournent vers des endroits moins fréquentés, mais tout aussi charmants. Parmi eux, une ville andalouse se distingue nettement. Appelée « le Santorin espagnol », elle offre un charme méditerranéen préservé, des ruelles ombragées par des façades blanches, la mer à proximité, un climat agréable et une ambiance détendue. Le parfait équilibre entre dépaysement et tranquillité.

La perle paisible de la côte espagnole

À Altea, nul besoin de faire la queue pour capturer un coucher de soleil : le panorama se déguste sans pression. En avril, les températures atteignent les 21 °C, parfait pour se promener en t-shirt. L’eau est encore fraîche, idéale pour tremper les pieds tout en profitant d’un verre en terrasse. Dans la vieille ville, les chemins pavés se croisent entre des murs blanchis, des volets à demi-clos et les bougainvilliers en cascade. Quelques chats s’étirent à l’ombre, les cafés débordent de vie et, tout en haut, la Parroquia Nuestra Señora del Consuelo et sa coupole bleue rappellent les îles Cyclades, mais sans l’agitation.

Plus bas, la plage étend ses galets sous un ciel clair. La plus proche, Playa de la Roda, longe une promenade tranquille, parfaite pour une marche après un plat de riz, spécialité locale. À Altea, on savoure une cuisine locale, généreuse et sans prétention : paella, riz aux haricots ou aux oignons, et ces « cocas a la llumà », petites tartes garnies de légumes ou de saucisse. Une adresse encore peu connue, qui réussit à maintenir un équilibre rare entre authenticité, charme et qualité de vie.

La destination espagnole qui charme en toute discrétion

Sur les réseaux sociaux, Altea fait sensation. Les commentaires sous les hashtags dédiés ne trompent pas : « Magnifique Altea. Mon lieu préféré à visiter », « J’adore cet endroit. Tellement pittoresque », ou encore « Je suis allé là-bas, c’est un lieu incroyablement beau et relaxant ». Les images suffisent à elles-mêmes pour convaincre, et l’atmosphère apaisante qui se dégage du lieu est suffisante pour séduire. Un contraste marqué avec l’agitation constante de Santorin, ses files d’attente et ses lieux toujours bondés.

Altea remplit toutes les conditions pour une escapade méditerranéenne réussie, sans épuiser le portefeuille ni le niveau de stress. Un paysage de carte postale, une mer azur, des spécialités locales délectables, et surtout, cette sensation précieuse d’avoir découvert un endroit encore authentique. Pour ceux qui cherchent l’authenticité sans sacrifier le charme, cette destination espagnole est une excellente alternative à l’effervescence des Cyclades.