Il faut replacer les choses dans leur contexte. Ce qui coûte cher ce n’est pas seulement l’impression. Il y a aussi le travail des maquettistes, la correction... Il faut aussi amortir les frais de structure de la société éditrice (compta, secrétariat, locaux...les "improductifs"...).
Sans compter sur le coté écologiste de la chose. Il n’y a pas un cota de livres à tirer au risque qu’il soit épuisé, ou surtout trop qu’il y ait trop d’exemplaires.
Nous n’hésitons pas à payer des cafés au bar du coin parfois plus de 1.5 euros... et cela plusieurs fois par jours pour certains. De même pour l’acquisition (...)