C’est une différence majeure par rapport au X-Pro1 : le châssis du X-Pro2 se pare de joints d’étanchéité, soixante-et-un en tout, alors que son prédécesseur en était dénué. Entre-temps, Fujifilm avait doté le X-T1 d’une construction renforcée, il apparaissait donc évident qu’elle en ferait de même sur son futur X-Pro.
En pratique, cela change la donne, à condition, bien sûr, de coupler le boîtier avec une optique elle aussi tropicalisée (sigle WR). Les photos suivantes ont été prises à Kyoto lors d’une forte tempête de neige au mois de janvier, avec le zoom XF 16-55 mm f/2,8 R LM WR. Je ne me serais pas risqué à prendre ces images avec un X-Pro1 ou un compact de la série X100 par exemple. Dernière précision, l’accu NP-W126 a montré ses limites dans le froid, en sollicitant fréquemment le viseur EVF : une seconde batterie est indispensable en reportage intensif.
Les Jpeg ci-dessous sont directement issus du boîtier.
Crédits photos : Benjamin Favier
 MDLP N°84, Avril 2016}Dossier Spécial : L’IMPRESSION JET D’ENCRE [48 PAGES] + LA SURIMPRESSION EN PRISE DE VUE + DOSSIER SPECIAL FUJIFILM X-PRO2 le test complet du Fujifilm X-Pro2+ le test du Fujinon XF 35 mm f/2 R WR + le test du Fujinon XF 100-400 mm F4.5-5.6 R LM OIS WR dans notre numéro quatre vingt-quatre du MondedelaPHOTO.com, actuellement en kiosque, et en vente sur le site (paiement par CB 100% sécurisé) : Lire le sommaire du N° 84 de MDLP Commander le N° 84 de MDLP |
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