Photo : Bruno Calendini / www.vision-sauvage.com
Voici le bébé : un aspect rassurant avec son châssis tropicalisé et sa poignée additionnelle, que j’ai laissée à demeure 90% du temps pour une meilleure prise en main. Au niveau ergonomie, j’ai apprécié la compacité, l’écran VGA et la clarté des menus, le flash intégré, le viseur 100%, la molette des modes d’exposition qui grace à son verrou reste parfaitement bloquée sur la position sélectionnée, le testeur de profondeur de champ associé au déclencheur. Au niveau des regrets, je me suis régulièrement fait piéger par le pad : j’aurais préféré qu’il soit uniquement dédié au choix des collimateurs. Sur le K-5, il sert aussi à sélectionner divers mode (rafale, balance des blancs, flash, filtres) via une touche OK, qu’il faut presser 1 seconde pour la rendre active … un cheminement qui demande de l’habitude ! D’autre part, ce pad est bas et pour y accéder avec le pouce, il faut décoller la paume du grip, ce qui rend la prise en main moins confortable (et je n’ai pas de grosses mains).
Une particularité Pentax : les optiques pancake, qui changent sensiblement l’ergonomie de l’ensemble et qui le transforment en un autre outil à photographier très séduisant… j’y reviendrai plus loin …