Sur l’ordinateur, je passe par un lecteur de cartes pour copier les fichiers sur le disque dur. Je donne une structure hiérarchique aux répertoires, pour m’y retrouver facilement, même si je dispose d’un logiciel de catalogage. Le mieux est de réserver une partition du disque dur aux photos, avec l’arborescence directement accessible. En matière de sécurité, j’utilise des unités en Raid 1 (chaque fichier est copié en toute transparence sur deux disques durs identiques), que je sécurise par une sauvegarde supplémentaire sur un disque dur USB géré par le logiciel UltraBackup.

Voici l’arborescence, propre à mon activité photo. Encore une fois, n’hésitez pas à l’adapter, le principal étant d’être logique pour s’y retrouver facilement.

Les dossiers de Lightroom

Bien qu’il soit extrêmement facile et rapide de retrouver une photo particulière dans un logiciel de catalogage comme Lightroom, et de localiser directement le fichier sur le disque dur, il est quand même très important de conserver une arborescence logique en dehors du logiciel, ne serait-ce que pour ne pas en être prisonnier.

 Le premier niveau de répertoires correspond aux séries de ce site (Alive, Césure, Divergence, Océan, Vegetal, etc.). Il contient aussi la base de données de Lightroom.

 Le deuxième niveau intègre la notion d’années, pour ne pas se retrouver avec une multiplicité de répertoires au même niveau hiérarchique. Si vous faites énormément de sessions, vous pouvez encore le scinder par mois.

 Vient ensuite le niveau correspondant aux dossiers contenant tous les Raw de la session, avec la date et un titre évocateur.

 Le dernier niveau contient les exports du convertisseur, avec la possibilité d’ajouter une sous-structure : web, impression, book...